Tremblants s'égarent à présent les doigts, la mer est loin, très lentement la voix se brise, pour mourir, c'est presque déjà trop tard. N'en doute pas : j'ai été cet arbre, cette joie promise aux seuls oiseaux.
Eugenio de Andrade "Matière solaire" Poésie/ Gallimard
ces doigts tremblants sont-ils d'autosatisfaction ?<br />
quand on ne frequente que des seuls oiseaux, on tombe plus facilement sur des vautours que sur des aigles
C
catherine
10/02/2008 06:13
Je découvre ton blog. Je constate dans tes liens que nous avons un peu les mêmes fréquentations mais c'est la première fois, chez Brol, que je lis un de tes commentaires. Je reviendrai.
Les caprices d'Ennairam
Dans la boucle de l'hirondelle un orage s'informe un jardin se construit (René Char)