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Les caprices d'Ennairam
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4 août 2007

Méli mélo

A ceux qui n'ont pas d'enfants  et qui fuient les conversations "biberons couches" je signale que quelques années plus tard viennent les conversations "études" tout aussi ennuyeuses. A croire que dès que l'on a des rejetons, on ne sait plus parler d'autre chose : je suis bien placée pour le savoir, étant mère de famille nombreuse.

Les plages de galets, c'est rudement (et durement) bien, surtout quand il y a du vent : les cailloux permettent de retenir la rabane, la serviette de bains,  et la petite robe volage. Contrairement au sable, même par vent violent, les galets ne vous sautent pas à la figure.
Mais si comme moi  on en  glisse un (gros) involontairement dans son sac de plage en repartant, c'est beaucoup plus lourd.

Pendant ce temps les lacs et les mers sont empoisonnés par les rejets industriels, les glaciers fondent, l'humanité continue de courir à sa perte le plus vite possible. Aurons-nous vécu le temps d'un battement de cil de dinosaure ?  Et on nous mijote la TVA sociale, la franchise médicale, les cadeaux fiscaux aux nantis avec l'approbation de plus pauvres qui espèrent retirer quelques miettes du gâteau.

Si si je suis d'excellente humeur ! Et sur les plages de sable aujourd'hui.

J'ai d'ailleurs pu constater que promener une vieille dame en fauteuil roulant m'attire le regard sympathique de toute une frange de population masculine prête à rendre service, rassurant non ?

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Commentaires
G
involontairement, le galet... de Toi peut-être mais qui, mais qui a oeuvré ?<br /> pour entourer les plantes de ton balcon, façon jardin zen ?<br /> prend un peu de sable aussi<br /> j'avais pensé mettre du sable bien ratissé au pied de mon fauteuil, avec qq coquillages pour faire "comme si" comme dans les agences de voyage<br /> finalement j'ai eu peur de glisser et me suis rabattue sur une grande natte de plage: ça éclaircit la pièce et ça invite à la sieste
E
>Myrtille : si tu viens ici, on te la prête avec joie<br /> >Didier G : n'est-il pas possible de surseoir ?
M
Sous les gars laids, la plage... Bises
A
la vida es asi :<br /> "de la varicelle à la varice...puis à l'avarice : reste plus à chrisine lagarde qu'à encaisser les droits de succession
C
moi quand j'entends les gens qui ont des enfants ne plus parler que de ça, je ne peux m'empecher de penser qu'ils en ont eu pour meubler le vide de leur existence ou de leur couple. La vie (la notre) continue, meme apres (avec) les enfants. Parce que si en enlevant les enfants, y aplus rien d'autre comme sujet, alors à quoi tient le couple?
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