12 mars 2006
Le nouveau monde
de Terrence Malik
Il faut se laisser bercer par les images et les émotions délicates.
Pas que de la délicatesse : on sait que certains seront massacrés, et que toute cette histoire finira mal. Lorsque la première image d'une nature magnifique indique "Virginie" 1600 et quelques, on rêve.
Beaucoup de plans sur les visages. L'attention est sans cesse portée sur les sentiments.
Des rêves qui s'effondrent. D'autres qui renaissent.
Tout au long du film, Pocahontas dialogue avec sa mère défunte. Et sa transformation, pendant les deux heures, ne nous laisse pas indifférents.
Le film est très bien commenté ici et là.
Et maintenant , allez voir les indiens Ashaninkas.
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