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Les caprices d'Ennairam
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21 juillet 2005

En vrac, pêle mêle, meli-melo

 

 

Lu chez les autres, vu ailleurs, etc... Ou comment écrire une note quand on n'a rien à dire, mais qu'on a quand-même envie de le dire.

Lewis a de grandes interrogations métaphysiques sur le métier de père. On voit qu'il n'est pas mère...

Le genre des mots (note du 20 juillet 0h : "version originale") déclenche des questions chez Pascal, pour les  mots anglais qui désignent un moyen de transport (euh pas de transport amoureux, ceux-ci peuvent avoir tous les genres en Français,  en Anglais je l'avoue je n'en sais fichtre rien : le sexe masculin est-il gentiment appelé she or he en Anglais ? ou juste it ? neutre ? Quelqu'un peut-il me répondre ? mêmes questions pour le sexe féminin d'ailleurs) et chez Lewis, le genre des tongs...Mes dictionnaires, Robert et Lexis sont trop vieux pour me le dire.

 Alors que je me dirigeais vers ma librairie préférée, mais aussi la plus proche, pour consulter, voire acheter un dictionnaire "up to date" j' observai un bel homme blond allongé dans l'herbe, une cigarette à la main droite, une alliance à la  gauche, et je m'étonnai de sa présence sur un gazon aussi inhospitaler, en bordure de la route, d'autant que je l'avais déjà remarqué, dans la même position, une heure plus tôt. Je m'apprêtais à intervenir dans sa vie d'une quelconque manière, lorsqu'une amie qui passait par là avec sa voiture s'arrêta pour me parler, je montai, stoppant là toute velléïté d'intervention, et d'achat de dictionnaire.

 

 

STV nous fait une crise de duck spirit, je ne sais pas bien ce que c'est mais je suis prête à adopter le concept. Moi je connaissais la crise "mouton noir du troupeau" qui me donne régulièrement des boutons.

 

 

Alain Bombard est mort. Ma radio préférée ne me l'a pas dit. A la réflexion, je n'ai pas dû l'écouter assez, je vis en horaires décalés ces jours-ci...Il m'avait fait rêver enfant.

 

Mon Philoo préféré se trouve mou du blog

Zvezdo nous conte ses émotions musicales à Saintes,  trop ignorante  en musique (dilettante en tout, connaisseuse en rien), j'aime lire ou entendre les passionnés en parler.

Et pour finir, une vue de ma fenêtre : au fond, à gauche de la grue, un hall de montage d'Airbus, mais pas le plus gros, je vous le montrerai une autre fois, et à droite de la grue, l'hexagonal bureau d'études de saint martin du Touch. Ca c'est pour faire le pendant de la note d'hier chez STV avec son château médiéval niçois.

 

 

Ah j'allais oublier la nouvelle de Myrtille, que j'ai trouvée tout à fait délicieuse, elle remplace le succulent clafoutis qu'elle ne nous fera pas demain...

Bon, si j'allais au ciné...

 

 

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Commentaires
(
Merci à tous<br /> <br /> <br /> « Monsieur Hector s’interroge sur l’atome<br /> Et les trajectoires de l’univers<br /> L’automne, cendrillon des nostalgies<br /> Coule en ses veines un serpent d’eau<br /> Et son humeur, langueur d’amertume<br /> Lance en retour un amical bonjour.<br /> Adèle trouve sur la table un parapluie,<br /> Miroir d’ombres ruisselantes<br /> Qu’elle accroche aux cordes du piano.<br /> Robert arrive par les marches du couloir,<br /> Essuie d’un geste souple et nerveux<br /> Le code imprimé sur l’écran.<br /> Depuis quelque jours, d’hier à aujourd’hui<br /> A l’heure joyeuse du bal costumé<br /> Le masque trahissait la puissance de l’âme.<br /> Rien n’est vain mais tout est inutile.<br /> <br /> A croire l’intensité proverbiale <br /> Du peu et la désespérance <br /> Des cristaux de charbon. »<br /> <br /> <br /> <br /> 1986<br /> <br /> Georges A.
(
Cheveux bouclés d’azur qui penche<br /> La rondeur extraordinaire de ton corps.<br /> Visions d’étranges vagabondages qui me creuse.<br /> <br /> Qu’il est souhaitable ce temps présent où délivré<br /> De toute identification, l’errance posthume <br /> <br /> Me hante.<br /> <br /> J’aime parler pour ne rien dire.<br /> Sombrer la nonchalance de l’automne.<br /> <br /> Fixer l’essence de l’esprit.<br /> <br /> Ce qui décide, au soir plus que demain<br /> D’avoir de vastes escapades glorieuses,<br /> Ces fleurs de mimosa creusées dans l’argile<br /> Et ces moteurs sans voix qui tournent - au matin<br /> <br /> Vraiment du café ouvert<br /> Jusqu’après minuit,<br /> <br /> L’âpre solitude d’être aimé<br /> ronge l’existence des yeux.<br /> <br /> <br /> <br /> 1983<br /> <br /> reflets
M
Quand on a rien à dire et qu'on le dit si bien, moi je dis bravo...<br /> <br /> Ta radio préférée étant aussi le mienne, je te confirme que la mort d'Alain Bombard a bien été annoncée...
(
Quand d’austères lumières s’accrochent aux paupières<br /> et s’en vont par delà tous ces chemins pliés<br /> Quand d’étranges cochers voyagent en hiver<br /> et saisissent bien sur ces étranges clartés<br /> <br /> Quand le froid a surpris les chiens et les traîneaux<br /> la douleur dans les reins s’imprègne du fracas<br /> quand l’effort avait faim et suait le manteau<br /> le maître sanguinaire les frappe de ses bras<br /> <br /> Et le vent et la neige insolents d’embarras<br /> l’enferme dans l’auberge où transpire l’effroi<br /> les raideurs de son corps tout à coup le trahissent<br /> une servante alourdie dépoussière le christ<br /> <br /> Le voyage continue opaque et sensuel<br /> mais tout reste embrouillé de cochers irréels<br /> car la halte promise sur ce chemin perdu<br /> n’était qu’une sottise pour un âne têtu<br /> <br /> <br /> <br /> 1980<br /> <br /> Reflets
S
Moi vous savez, tant qu'on me fait de la pub...<br /> ;)<br /> STV.
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